Le judaïsme, comme « autre » du christianisme

Je retrouve, dans une coupure de journal que j’avais mise de côté, cette réflexion de Paul Ricoeur:
Le christianisme a la chance d’avoir eu, dès le commencement, son « autre »: étant planté sur une racine qui lui est antérieure, il ne monopolise pas sur lui-même toute la révélation divine. Cela permet au christianisme de mieux se comprendre et de ne pas saturer l’espace ouvert au divin.

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